Description
Au sommaire
Une vie de bohême
À 22 ans Modigliani découvre les quartiers de Montparnasse et de Montmartre, à l’époque peuplés d’artistes sans le sou ! De son vivant il ne vendra pas beaucoup de ses toiles, aujourd’hui recherchées et coûteuses…
Enfance à l’italienne
Modigliani aura passé presque toute sa carrière à Paris, mais c’est dans son pays natale où tout a commencé pour lui. L’Italie, pays où les modèles ne manquant pas !
Le Paris des avant-gardes
En 1906 Modigliani quitte l’Italie direction la capitale artistique du monde. Il y découvre les nouvelles tendances artistiques, de quoi faire évoluer son style au départ encore très classique.
Modigliani sculpteur
Ce fabuleux peintre aurait en réalité préféré travailler le marbre ! Passionné par les sculptures antiques de son pays il crée au long de sa carrière au moins une trentaine de pièces !
Portrait(s) d’une époque
Poètes, artistes ou marchants, Paris est la capitale des arts ! À travers ses nombreux portraits, Modigliani nous plonge dans cette folle effervescence du XXe siècle.
La parenthèse paysagiste
La peinture de paysage c’est presque un passage obligé pour les artistes. Mais Modigliani sait bien ce qui ne lui plaît pas ! Des toutes ses œuvres on compte que sept paysages…
Tout Modigliani en une œuvre
L’œuvre Nu couché de 1917 montre une femme rêveuse et tranquille. Son destin est à l’image de Modigliani : entaché de scandale et reconnu tardivement.
En quelques mots
Livourne, 1984 : on fête le centenaire de Modigliani dans sa ville natale. Le musée d’art moderne organise une grande exposition pour l’occasion, qui rassemble ses sculptures. Quelques dizaines de têtes dans la pierre, sur lesquelles l’histoire de l’art a longtemps fermé les yeux. Le peintre était aussi un sculpteur passionné, mais qui n’a pas pu s’y consacrer pleinement.
Les statues de l’artiste restent un petit ensemble rare et précieux, elles nous ouvrent les yeux sur toute l’œuvre de Modigliani.
Sur leur visage de pierre, on découvre la passion de l’artiste pour les arts anciens et lointains. On y lit aussi déjà les grandes lignes de son style, qu’il développera toute sa vie durant en peinture, à travers ces portraits de face, aux visages allongés. Et aux yeux mystérieusement grands fermés.