Description
Au sommaire
Dalí avant Dalí
L’artiste cherche son style passant par les grands courants de son époque tels le cubisme ou l’impressionnisme … mais aussi par la peinture classique dont il est extrêmement touché.
Un surréaliste pas comme les autres
Passionné par la psychanalyse, Dalí transcrit cette pratique dans ses toiles pleines d’hallucination, de fantasmes et d’absurdité.
Dans les tiroirs de Salvador
Fourmis, téléphones, sauterelles et monstres : son œuvre est remplie de motifs récurrents. Ses tableaux sont comme des tiroirs, faut les ouvrir pour voir ce qu’il y a vraiment dedans.
L’incroyable Dalí show
Salvador n’était pas seulement artiste. Mais aussi théoricien, cinéaste et créateur de mode !
Venez voir le spectacle de l’homme-œuvre.
Tout Dalí en une œuvre
La maison de Dalí et de son épouse Gala à Porlligat est décidément l’œuvre de toute leur vie. Construite comme un labyrinthe, cette maison reflète les œuvres de l’artiste surréaliste.
Bienvenue à Dalíwood
Le Chien Andalou, L’Âge d’Or… L’artiste se lance dans le cinéma et c’est un succès ! Faites place, Dalí le cinéaste débarque !
Warhol, l’objet du Dalí
Et si le successeur du moustachu Catalan était … un Américain à perruque ? Les deux artistes se rapprochent dans les années 1960 ainsi que leurs œuvres.
En quelques mots
Salvador Dalí est le créateur de tout un univers sur lequel il règne sans partage. Bienvenue dans le Dalyrinthe. Touche-à-tout, il leur donne forme tantôt en peinture et en sculpture, tantôt en dessin, en photo et même en film. Ou encore en se faisant lui-même œuvre d’art ! Car Dalí n’est pas un créateur comme les autres, et il ne quitte jamais son costume d’artiste. Toutes ses apparitions en public sont l’occasion de petits événements et parlent de ses sujets favoris : le rêve, l’inconscient, la science, la religion, les métamorphoses … Voici donc Dalí qui se met en scène, se déguise, dans des journaux, des conférences, des publicités ou des émissions de télévision. Un show permanent, qui influencera de nombreux artistes contemporains. Et pourtant, Dalí ne fait pas partie de ces artistes qui rejettent l’art classique. Bien au contraire. Il n’apprécie pas toujours les modernes, considérant Cézanne, par exemple, comme « le peintre le plus maladroit, le plus catastrophique ». Alors que Raphaël, Vinci, Vermeer, Velázquez et, plus proche de lui, Picasso, sont les rares à qui il accorde un 20/20 dans son Journal ! Il aime le soin méticuleux qu’ils apportent à leurs toiles, et leur immense maîtrise technique. Ce que l’on retrouve aussi dans ses toiles, malgré leur apparence fantastique. Un mélange détonnant.